comment travailler les filières énergétiques

sommaire

récapitulatif des filieres énergétiques

comment développer les filieres énergétiques

Effectuer une programmation uniquement sur les notions de filières énergétiques, apparaît comme infiniment complexe et toute tentative de schématisation, ne constitue qu’une approche très souvent imparfaite.

L’aspect énergétique n’étant pas le seul facteur à prendre en compte, il faut s’en remettre également aux qualités physiques de base que sont rétrospectivement :

L’approche de l’entraînement par filière énergétique ne constituera alors, qu’une partie de la programmation de l’athlète.

On peut tout de même signaler avec certitudes à l’heure actuelle que pour développer une filière énergétique, 2 à 3 séances par semaine sont nécessaires.

Alors que pour entretenir l’une d’entre elles, une séance par semaine sera suffisante.

les filieres énergétiques a travers l'histoire

Au cours de la dernière décennie, beaucoup de chercheurs, docteurs, préparateurs physiques, s’attachèrent à développer les recherches, en matière de performances sportives.
Mais 4 d’entre eux, ont vraiment fait évoluer les choses dans ce domaine !

Georges Cazorla et Luc Léger

« Comment évaluer vos capacités aérobies »

Michel pradet

« La préparation physique »

Véronique Billat

« Physiologie et méthodologie de l’entraînement »

Collectif INSEP

« Énergie et entraînement : l’exemple des courses »

Ci-dessous, vous retrouvez un tableau récapitulatif de ce à quoi correspondaient pour eux les filières énergétiques et comment les travailler.

Il faut remettre les choses dans leur contexte, à savoir que :

À l’époque, peu d’informations étaient véhiculées sur les filières énergétiques.

Néanmoins, cela reste très intéressant de voir leurs visions des choses, dans le but de nous confectionner quelque chose au goût du jour et de plausible !

Malgré le fait que les notions des 3 filières énergétiques soient bien identifiées, on peut remarquer que de nombreux termes ne sont pas partagés parmi nos 4 auteurs.

  • Pour Véronique Billat, la capacité anaérobie alactique n’a pas lieu d’être, alors qu’elle est bien identifiée par Michel Pradet, et qu’elle est associée à la puissance anaérobie lactique au sein de l’endurance vitesse par l’INSEP !
  • La filière aérobie est présentée sous différentes formes d’expressions, néanmoins, concernant les temps de travail, elle est présentée de façon fort similaire par ceux qui les identifient.
  • La récupération également est présentée sous différentes formes d’expressions, certains parlent de récupération totale après un type d’effort comme Michel Pradet, d’autres de récupération partielle entre les répétitions dans le cadre d’un entraînement comme Georges Cazorla et Luc Léger mais également l’INSEP. Véronique Billat quant à elle parle de restauration psychologique et des substrats énergétiques.
  • Concernant le référencement de l’intensité : Georges Cazorla et Luc Léger parleront de VMA, Michel Pradet de PMA mais également de vitesse maximale de course comme l’INSEP. Véronique Billat parlera elle de VO2max.

En revanche, ce qui est commun à l’ensemble de ces 4 auteurs, c’est la nécessité de développer la :
puissance aérobie grâce aux efforts intermittents court/court.

De plus on peut noter que le terme résistance a totalement disparu du vocabulaire de ces 4 auteurs.

Laisser un commentaire

Partagez cet article :
Facebook
Twitter
Email
nos derniers articles
Pause pull-up en street lifting

Pause pull-up

Ce qui doit déterminer la variante de « pause » la plus appropriée à l’athlète, sera avant toute chose, les problématiques rencontrées par ce dernier.

EN SAVOIR PLUS »